Initialement écrit le 16/01/2016
Il n’est pas vilain garçon, grand, l’air sûr de lui. Je ne sais pas ce qu’il fait comme boulot. J’imagine qu’il a l’habitude de se faire obéir. Il a une manière d’utiliser l’impératif qui traduit une habitude de ne jamais être contesté.
Il a du fric mais pas excessivement, j’ai l’impression. J’ai fait un trou dans ses finances et elles ne sont pas extensibles. Entre l’hôtel, les restos et ce que je lui demande, il a été amené à trouver une solution plus économique pour lui.
Il essaie de ne pas être blessant mais son attachement aux apparences peut parfois venir titiller mon amour propre. « Brosse-toi les dents, change de fringues, ne mange pas avec les doigts, arrête de gigoter, sèche tes yeux, souris, prends une douche d’abord, tu es obligé de faire ça ? (shoot de la nuit), je vais t’envoyer chez le coiffeur, etc… »
Il ne veut pas que du cul, il veut des nuits de sommeil à deux. Il s’endort un bras sur ma poitrine et je déteste ça.
Il aime les restos à deux, il aime parler et être écouté, il aime poser des questions et aimerait des conversations mais je déteste ça.
Certains sujets me dérangent.
Cela fait partie du marché que nous avons passé. Nous en avons discuté, nous avons cédé sur certains points qui nous déplaisaient et nous avons maintenus nos positions sur ce qui n’était pas négociable.
Dans la série, je ne pense pas avoir pris la bonne décision, celle-ci arrive en deuxième position de la journée d’hier, du mois passé et sans aucun doute de l’année à venir.